Déconfinement : François Asselin réaffirme le soutien de la CPME au monde du sport
François Asselin s’est rendu mercredi 9 juin, le jour-même de la réouverture des salles de sport, chez Neoness à Paris Beaugrenelle. Accueillis par Céline Rémy Wisselink, présidente du groupe Verona qui détient l’enseigne Neoness, Virgile Caillet, délégué général de l’Union Sport & Cycles qui avait initié ce rendez-vous, et le président de la CPME ont fait le tour des installations de cette salle de sport de 1700 m2 et de ses installations dans le respect du protocole sanitaire renforcé.
« L'économie dans notre pays est diverse : je suis là pour défendre les entreprises et les entrepreneur » a affirmé François Asselin. En présence de journaliste et avec 3 autres chefs d’entreprise d’autres disciplines du sport et des loisir : Véronique Maillet, fondatrice du QEE Yoga ; Lucile Grentzinger, fondatrice de Blast (parcours d’obstacles indoor) et David Sieng, directeur général Casa Padel, ils ont échangé longuement au milieu des pratiquants présents depuis 7h00 du matin sans discontinuer, heureux de reprendre leurs activités sportives.
François Asselin a rappelé que si la reprise était source d’optimisme pour tous les entrepreneurs et pour les Français d’autant plus que le sport est une discipline bénéfique pour leur santé, il ne fallait pas pour autant occulter la réalité de la profession :
- Des jauges à respecter, en l’occurrence 50% de clients, qui contraignent son impact ;
- Une période, l’été, qui n’est pas la plus propice au redémarrage des abonnements aux activités sportives indoor.
Abordant la perspective de la sortie de crise, il a plaidé pour que la dégressivité des aides de l’Etat ne soit pas brutale, mais opérée sur mesure et de manière fine, alors que les coûts fixes des entrepreneurs sont restés pleins et entiers.
Le jour de la réouverture était crucial non seulement pour le secteur du sport, mais plus largement, pour tous les secteurs fermés dont l’hôtellerie-restauration et l’événementiel, qui ont payé un lourd tribut à la crise, et pour lesquels la CPME reste plus que jamais mobilisée. Prochaine étape ? Créer les conditions de leur relance.
De gauche à droite : Céline Rémy Wisselink, Lucille Grentzinger, Virgile Caillet, François Asselin et David Sieng